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 Tout sombrera avec toi [PV Lelouch]

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Alexander Van Hallagen
AQUA ❖ SEPTIÈME ANNÉE
Alexander Van HallagenAQUA ❖ SEPTIÈME ANNÉE

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MessageSujet: Tout sombrera avec toi [PV Lelouch]   Tout sombrera avec toi [PV Lelouch] EmptyLun 24 Oct - 17:11

Tout sombrera avec toi [PV Lelouch] 53aefae6ox

Tout sombrera avec toi [PV Lelouch] Wdzmvgxrb3
If it kills me tonight,
I'll be ready to die.

    Tu avances, tombes, te relèves. Tu cours à en perdre haleine, tu fuis la vie, le monde, toi-même. Tu te dis qu'à t'époumoner ainsi tu parviendras à atteindre cette solitude-là. Parce que tu as peur, parce que tu es faible, parce que tu n'as jamais su quoi faire d'autre dans ce cas-là. Mais l’échappatoire se fait lointain, inaccessible, impossible. Tu te dis que cette fois-ci tu n'y arriveras pas, tu te dis que le monstre qui vit en toi finira par te rattraper, quoi que tu fasses. Qu'il vit, attend, guette en toi, qu'il ne te lâchera jamais, qu'il prendra possession de ton existence. Que ses pulsions domineront tout le reste, que dans la nuit le reste n'existera plus. A part toi et le sang que tu attends, celui que tu désires plus que tout le reste. La nuit arrive, le soleil repart, le monstre surgit, terrifie, t'appelle. Ses crocs sont en toi, il a ta parole, il possède ton corps. C'est toi. Accepte cette réalité, pauvre adolescent pitoyable, tu es un monstre. Tu es ce monstre-là. Ne sois pas naïf, assume les choses ! Cours, cours aussi vite que tu le veux, tu ne peux pas lui échapper. Tu ne peux pas échapper à toi-même. Contrôle-toi où ce sera la fin. Quelqu'un finira blessé ce soir, alors tu avances, tu tombes mais ne te relèves pas.

    Tout sombrera avec toi.


    Al courrait à perdre haleine, ne sachant même plus quelle force mystérieuse contrôlait ses jambes pour lui permettre un tel exploit. Avec sa maigre chemise d'uniforme il osait affronter la nuit, il devait retourner dans la forêt, c'était toujours ce qu'il faisait dans ces cas-là. Quand la pression se faisait trop éprouvante, quand la pulsion était un peu plus intense. Quand ses pensées ne réagissaient plus pour laisser place à une envie morbide et destructrice. Pouvez-vous seulement imaginer le torrent qui s'agitait en lui ? Pouvez-vous seulement le comprendre ? Il n'avait plus la moindre lucidité, plus le moindre courage, tout humain lui semblait une proie accessible, facile. Appétissante. Ah, comme il se haïssait ! Comme il avait peur de cette chose en lui qui lui murmurait qu'il était différent, qu'il finirait par blesser quelqu'un. Il avait l'habitude de ces envies-là, apprenait à les contrôler, espérait qu'elles ne dureraient que quelques secondes et s'effaceraient en un instant ! Mais que faisait-il quand ce n'était plus le cas ? Quand la soif se faisait brûlante, hurlante, douloureuse, quand plus rien en lui ne réagissait à part ses canines sorties et prêtes à mordre n'importe quoi ? Voilà presque toute une soirée que ses yeux refusaient de retrouver leur couleur habituelle, remplacée par un rouge sang et glauque. Quelle heure était-il ? Qu'importe ! La lune était pleine, les élèves dormaient paisiblement, inconnus à la bête qui les guettaient. Rester dans son dortoir lui avait paru impossible après d'intenses minutes, aussi avait-il dû fuir en urgence. Avancer. Tomber. Se relever, ou peut-être pas. Alors qu'il courrait à en perdre ses ultimes forces, la dernière part d'humanité en lui priait pour qu'il se fasse prendre. Si seulement, ah, si seulement un professeur pouvait l'aider ! Quand bien même il fuyait vers son refuge qui était la forêt, jamais il n'avait été pris d'une pulsion si forte, quoi qu'en cet instant il était incapable de se poser la question. Plus rien n'existait à part la soif. Cette soif-là.

    Tout sombrera avec toi.

    Presque incapable de voir où ses pas le guidaient, il se surprit à se retrouver sur la place, face à la lune qui éclairait à elle seule l'immensité de la nuit. Les reflets reposants de cette bille argentée sur l'eau aurait pu lui occuper l'esprit mais il n'en fut rien. Il arrêta sa course folle, épuisé, sentant des frissons d'air froid lui remonter le long du dos, des gouttes de sueur glacée coulant contre son front. Ses canines étaient toujours là, à l’affut, son regard ensanglanté à la recherche d'une proie facile. Cela ne pouvait-il pas s'arrêter ? Pourquoi était-il condamné ? C'était injuste, il savait qu'il ne voulait de mal à personne. Que devait-il faire ? Précédemment incapable de penser par lui-même, il se surprit à retrouver une certaine lucidité. Son cœur était froid, comme la glace, comme la mort. Il aurait donné sa vie pour sentir du sang chaud s'engouffrer dans ses veines, couler dans sa gorge. Il avait mal aux muscles de la main à force de tenir son col avec poigne - geste instinctif qu'il faisait à chaque fois. En direction du vide, il se mit à pousser un cris de rage, semblable à un râle de douleur. La soif était la pire sensation du monde, une faiblesse immense combinée à une force surhumaine, une telle froideur, une perte totale d'esprit logique. Il tomba à genoux, poussant des soupirs de fureur, toujours autant essoufflé. Il se sentait pris de convulsions puissantes. Que se passerait-il s'il croisait quelqu'un ? S'il blessait cette personne ?

    Ah, si ça arrivait.
    Si tu mords un pauvre innocent, Al, tout sombrera avec toi.
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Lelouch TenderStone
TERRA ❖ SEPTIÈME ANNÉE
Lelouch TenderStoneTERRA ❖ SEPTIÈME ANNÉE

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MessageSujet: Re: Tout sombrera avec toi [PV Lelouch]   Tout sombrera avec toi [PV Lelouch] EmptyMar 25 Oct - 2:14







Tout sombrera avec toi [PV Lelouch] Lulu05_lavaliere Tout sombrera avec toi [PV Lelouch] Aph020

La peur est ce qui gronde dans le courage ;
la peur est ce qui pousse le courage au delà du but.


• CAN YOU TAKE IT ?



    Je ne suis pas celui qu’on croit, j’observe en silence et pendant ces instants de vide, je pense, je m’attache. Je pense m’être beaucoup attaché au dénommé Alexander. Il n’est pas celui sur qui on peu compté, il n’est pas non plus l’homme pouvant faire des miracles, il est maladroit et naïf. Ce n’est pas un chef, il ne donne pas d’ordre il en est tout le contraire, il subit tout simplement. Mais il se donne du mal, il essaye d’être gentil, d’être unique de par sa façon d’être, il ne parle pas sans rien dire et bien que ces phrase sois simple et candide il les pense. Je ne l’ai pas trouvé par hasard. Nous parlons ensemble, souvent même. Al’ parle rarement aux humains et il semblerait que je sois devenue une sorte de confident. Grace à sa faculté mentale il peut communiquer avec moi et moi avec lui. Ce n’est pas un génie, encore moins un philosophe et il est rare qu’il comprenne la moitié que je lui raconte, mais on rigole bien et dieu sait qu’il est compliqué de m’arracher un sourire. Je trouve bien dommage que nous soyons liées que par ma forme animale, j’aimerais lui parler un jour, nez a nez et non truffe a nez. Après tout je ne le force pas. D’après ce que je sais de lui il n’a jamais parlé a un humain de son Vampirisme et découvrir que je suis enfaite un sorcier le blesserait surement. Pourtant… Ô pourtant que j’aimerais qu’on discute naturellement et non sous ce masque de poils. Parler… Discuter. Cela ne me ressemble pas. Moi qui préfère le silence au bruit, voila que je surprends a vouloir communiquer avec quelqu’un…Suis-je devenu fou ? Ou est-ce seulement Alexander, la personne avec qui j’ai surement échangé le plus de discours depuis bien des années maintenant. M’as t-il changé ? Je ne pense pas. Si je suis comme ça, c’est uniquement avec lui.

    Je suppose que nous pouvons le considérer comme un « ami ». il est bavard certes, mais il ne fait rien d’autre que de conté ces légendes et autres histoires grotesque qui donne a ma vie un petit coup de gaîté. Je n’arrête pas de me morfondre dans mes livres, passant la plupart de mon temps à la bibliothèque. Quel ennuie me direz vous. Et bien je commence à me lasser de tous ces livres, de toutes ces histoires de magies et de fantasme qui n’existe au final que dans les bouquins. J’ai beau me dire intelligent je ne tiens pas une seconde en compagnons d’un de mes camarades tellement sa présence m’oppresse et que le seul son de sa respiration me rend fou. Suis-je associable ? A en croire ce que je raconte il semblerait que oui. Il faut y remédier, il faut que j’arrête de me mettre sur la touche, il faut que je m’ouvre… Mais comment ? Comment faire ? Comment faire croire ne serait-ce qu’un instant a quelqu’un que j’ai envoyé boulet plus d’une dizaine de fois que je souhaite enfin lui adresser la parole ? ... Je l’ignore encore mais je trouverais bien un moyen. Reprenons ce que j’ai dis plutôt. Je n’ai pas trouvé Alexander par hasard, je l’ai suivit. Oui, suivit tout à fait. Depuis quelque temps il ne se sentait pas très bien, il me la dit, il m’a tout dit. Alors je suis sortie en toute discrétion. J’ai revêtu ce costume de loup et je l’ai poursuivit. Il va vite, pas aussi vite que moi, mais sa vitesse dépasse celle d’un homme normal. Tiendra-t-il ? Je l’ignore encore, mais il s’efforce de foncé tête baissé loin de l’académie et de mon coté je cour a sa suite.

    La foret, les ondes magiques des créatures qui y habitent me parviennes, leurs odeurs nauséabondes mais pourtant si parfumés arrivent à mes narines dilatés. Je respire fort, j’expire tout aussi fort et je ne m’arrête pas. Bien vite mes pattes me brulent, mes coussinets s’écorchent sur la terre sèche et certaines de mes griffes se cassent. Je râle silencieusement, je ne suis pas le plus a plaindre. Mon poil normalement si luisant a perdu toute sa beauté se frottant aux arbres et aux buissons de la foret. Les rires moqueurs des fées et des autres monstres arpentant cette dense tribu de vilebrequins me font grimacer et pourtant je cour sans m’arrêter. Il arrive a la plage, il tombe, se relève, force encore sur ses jambes frêles. Il arrache de sa gorge des cries de rages et de haines, il perd la tête. Je m’approche, poitrail bombé, poils hérissés. Peur ? Bien sur que j’ai peur. Je me fais petit face a cette chose que je reconnais a peine. Alexander ? Ai-je envie d’appeler. Tout va bien ? Ai-je envie de lui demander. Mais encore une fois mes pensées me trahissent je ne fais que prolonger ce silence lourd qui l’oppresse et qui commence doucement à me faire perdre le nord. Lui parler. Parler comme nous parlons si souvent. Je ne parle normalement pas beaucoup, mais cette fois ci je n’ai plus le choix.


    "J'aime cette rage qui envahit ton cœur, j'aime cette puissance, ces cris et ces hurlements. Certains plus faibles, tomberaient, alors que toi. TOI ! Tu es toujours là, je sens ta présence, ton fond de bonté. Un son fort, un son profond. Un sentiment plaisant qui m’atteint à travers ce rythme, cet hurlement de peine qui surgis de ta gorge. Une voix sirupeuse, tantôt en retrait, tantôt au premier plan. Un besoin de bouger, de cracher ses ressentiments, se soulager l'âme, nécessités plus qu'inhabituelles, au fond tu ne demande que ça. Chaque accord vibre jusqu'à l'intérieur de ta personne, arrachant la petite parcelle d’âme qui te ronge. Tu n'as pas honte? Transpercé de part en part par une onde qui se propage, multipliant les cris les plus fous, tranchant au fur à mesure l'ensemble de la foule d’un frisson déplaisant. Un fourmillement sur toute la surface du corps. Une horrible démangeaison. La sens tu ? Regarde-la dans les yeux. Fait lui face, triomphe de cet assaut malfaisant, détruit cette ombre qui se faufile dans tes entrailles. N’as-tu pas honte ?! Honte de ta chair et de ce sang qui t’obsède ! Si tu ne fais rien qui le fera a ta place ? Qui se chargera de récolter ; de ramasser le corps inerte de ce que tu auras dévoré. QUI ?! Ne baisse pas les yeux ! T’ai-je un instant demandé de baisser ces yeux ! Ces iris de feu dévorant ton esprit comme jamais auparavant. LA SENS TU CETTE FOIS ?! Cette force, cet animal qui passe et repasse, griffant sur son passage ta pauvre et médiocre âme qui refuse de se battre seulement car tu as peur. OUI ! Peur de toi-même et de tes forces, peur de cette chose qui te grignote, peur de cet être qui partage ton corps et ton identité. Je suis faible face à ça, je ne peux rien faire et pourtant je suis là. REGARDE MOI ! Je t’encourage, tu n’es pas seul, ressaisit toi. Debout ! DEBOUT ! Ne frappe pas ce qui te parait immortel, accompagne le dans le fluide de ta discorde, donne a cet être ce qu’il veut, je suis là… je suis là. J’ai longtemps eu peur, je me suis dis que tu n’en valais pas la peine, que tu n’étais qu’au fond que l’une de ces créatures mal chanceuse qui ne pardonneraient rien une fois cette phase de transformation, mais je sais que tu ne fera rien, tu ne me feras rien, tu ne feras jamais rien a personne, tu n’es pas comme ça."


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Alexander Van Hallagen
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MessageSujet: Re: Tout sombrera avec toi [PV Lelouch]   Tout sombrera avec toi [PV Lelouch] EmptyJeu 27 Oct - 16:38

    Ça fait mal, hein ? Je sais que tu souffres. Alors montre-le ! Crie, hurle. C'est la seule chose que tu n'as jamais su faire. Dévoile tes faiblesses, attends que le monstre s'en serve contre toi. Ou alors reste là et attends que la fin vienne te chercher. Elle ne va pas tarder.

    Son corps chuta contre le sable, recroquevillé, les mains sur le visage comme pour ne plus sentir cette chaleur étrange qu'il avait dans le creux des yeux. Il les savaient exorbités, crachant du sang, ne voyant plus ce qu'ils se devaient de regarder. Il ne souhaitait pas chercher une proie, il ne souhaitait pas savoir qu'il y avait, près de lui, tant de créatures qui n'avaient rien à voir avec cela ! Mais jamais il ne leur ferait du mal, jamais ! Il préférait se tuer, se mutiler, s'enfuir, peut-être même blesser un humain, un élève. Mais pas eux, pas les animaux qui ne l'avaient jamais rejeté comme tant d'autres auparavant ! Il tremblait de tout son corps, pris à de violentes palpitations, il avait si mal, partout, sur chaque parcelle de sa peau il sentait des brûlures glacées, des sensations de piqûres, comme si le monstre cherchait à s'échapper. A le capturer, à le blesser. A tellement le détruire que sa soif serait la seule chose réelle et bonne à laquelle il pourrait se raccrocher. Parce qu'Al le savait, ça, la seule chose qui pouvait le soulager c'était le sang, alors enfin il serait libre. Toutes ces douleurs si puissantes disparaîtraient de son corps, il sentirait passer dans ses veines quelque chose de chaud et de reposant. Mais il en voudrait encore plus, encore et encore, c'était ainsi. Il ne voulait plus avoir à jamais ressentir cela. Alors que devait-il faire ? Il n'en avait aucune idée.

    « Je sens ta présence. »... lui aussi, il la sentait. Il y avait quelqu'un, là, tout près. Tremblant, il écarta doucement ses mains de son visage, ne sachant pas quelle créature allait lui faire face. Dans la nuit, dans la peur, la rage, la soif, il ne voyait rien qu'une forme noire et floue qui s'avançait et communiquait avec lui. Il n'y avait aucune phrase qui se formait dans l'esprit de Al, pourtant il comprenait tout ce qu'il voulait lui dire. Chaque sentiment, chaque émotion, chaque parole prenait un sens dans son cœur meurtris par la situation. « Tu n'as pas honte ? » Tellement, ah tellement ! Pouvait-il seulement le comprendre ? Le pouvait-il ? Qu'il cesse de le juger ainsi, il n'y pouvait rien ! Rien du tout ! Il n'était pas fautif de tout cela ! Mais ça c'est ce que tu essaies de croire, Al. Alors qu'il s'accrochait à ses bras en se recroquevillant un peu plus, la douleur dans ses articulations s'accentua. De ses yeux rouges à la mort s'échappèrent de fines larmes, ce n'était pas là le signe d'une tristesse. Seulement d'une peur incommensurable. Il était si effrayé... « Je t’encourage, tu n’es pas seul... »

      « Assez ! »

    Fais exploser ta rage, Al ! Montre-là, fais la vivre ! Laisse le monstre guider ton esprit et tes paroles, n'as-tu pas entendu comme ta voix était différente ? Oh, si différente, et tu l'as bien entendu toi aussi, c'est ça le pire... Les mains sur les oreilles, les yeux prêts à quitter leurs orbites, il n'avait plus la moindre force. Pourtant il savait que si l'occasion se présentait de régler sa soif, il sauterait dessus sans retenu, car il n'y avait plus que ça qui dictait son cœur. Alors cette créature devait partir, et vite ! Avant qu'il ne crève avec lui, sur cette plage, en pleine nuit. Relevant le regard vers ses prunelles brillantes, il l'implora, cette fois-ci d'une voix faiblarde et perdue. Si pathétique. Tu devrais te voir, Al. Tu es à mourir de rire.

      « Pars. Maintenant. »

    Avant qu'il ne soit trop tard.
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