Je ferme mon cahier et j'entre dans la forêt. C'est très calme. Il fait noir, mais cela ne me pose aucun problème vu que mes yeux agisse tel des lanternes. Du moins pour moi. Je vois presque comme en plein jour. Je serre mon cahier contre ma poitrine pour faire en sorte qu'il ne me glisse pas entre les doigts. Vu ma maladresse habituel, mieux vaux prévoir.

Je m'enfonce dans la forêt, où les troncs d'arbres se font de plus en plus proche. C'est un vrai parcours du combattant. Je me bats tant bien que mal avec les branches des arbres qui viennent giflés mon visage blanc.

A un moment je me prend les pieds dans des racines et je tombe à la renverse. Mon cahier s'envole dans je ne sais quelle direction.

Je le relève avec difficulté et le cherche du regard.

Rien. Je ne vois rien. Je commence à m'affoler et à pousser les feuilles, buissons et arbustes pour le retrouver.

-Oh non... non... NON ! pas ça !

Je donne un coup de pied aux feuilles mortes et me laisse tomber au sol.

♠ Le monde du rêve a sans doute des secrets que les gens
de la réalité ne sauraient voir.

• COME ON YOU CAN DO IT.

Ah ben voila. Cette gamine semble enfin avoir repris ses esprits de sorcière. Pour tout vous dire je commençais sincèrement a douté de sa dite place a Yendys. Il faut avouer que même si le sort qu’elle a jeté sur la créature que j’ai réussis à emprisonner contre un arbre est d’une médiocrité frôlant l’incapacité à réfléchir correctement. Dites-moi. Sincèrement. Comment un sort d’une aussi faible qualité peut bien se débarrasser d’un Chartier qui, j’ose rappeler, fait bien 6m de haut ? Et d’ailleurs je trouve cet animal d’une taille extrêmement grande, c’est bizarre, m’enfin, une poussé de croissance doit bien arriver a tout le monde, même aux animaux. La jeune fille idiote de tout a l’heure me rattrape, me happe le bras et semble me tiers vers la lisière de la foret, bien… mais je suis assez grand pour me débrouiller tout seul. Je vois déjà sa petite frimousse me dévisager en me disant haut et fort que c’est grâce a elle si on est saint et sauf… Nous finissons par sortir, le ciel a perdu son bleu et le soir est tombé. Qu’est que le temps passe vite, c’est que L’Hiver s’approche, les jours sont moins longs voila tout. Je soupire, mon bouquin dans la main je reprend doucement mon souffle et remarque que mes lunettes sont tombé dans la foret… Et bien tant pis, je ne retourne pas en compagnie de ce furet géant qui, pour ne pas le cacher, a une odeur des plus désagréable. Je me frotte les yeux, baillant pour la 3ème fois de la journée et fixe l’individu féminin qui ose une nouvelle fois me fixer de ces petits yeux bleus qui, j’ai remarqué, on cessé de briller.

•.Tu pourrait s'il te plaît, me dire comment tu t'appelle pour que j'évite de t'appelait "maigrichon" ?

♠. En voila une merveilleuse idée, j’éviterais également de t’appeler « Petite Idiote ». Lelouch TenderStone, Terra de 7ème année. Et toi ?

Elle na pas le temps de répondre que le monstre qu’on pensé hors de nos vies surgit des profondeur même de la foret pour nous attaquer de nouveau. Son poil sale coule dans le vent et ses babines retroussées font de lui quelque chose de féroce et de dangereux. J’attrape la gamine par les deux bras, et concentrant ma force sur cet unique point je l’envoi valser quelque mètre sur le coté pour pas qu’elle se fasse percuter par ce Chartier qui ne semble pas vouloir en démordre. Etant sur sa trajectoire, je prends vite ma forme loup et l’esquive en un bond gigantesque. Il ne semble n’avoir d’yeux que pour moi, et tant mieux. Griffes cisaillant la terre, je prends mes marques, poils hérissés, babines retroussées je fixe l’ennemie de mes yeux violet. Certes je suis plus petit, mais surement pas moins rapide. Le furet entrecroise ses jambes et semble vouloir me contourner. Je lui barre la route. Il recommence. J’en fais de même. Bien vite il comprend que je ne cherche qu’à protéger la jeune fille dans mon dos et étant une créature douée de paroles et de sentiment elle s’élance dans sa direction pour en faire son repas et ainsi me rendre vulnérable par la suite. Ce qu’elle ignore c’est que je n’ai aucune attache avec cette demoiselle, mais avoir la mort d’une élève sur la conscience n’est pas des plus agréables. Je m’y oppose à nouveau cherchant tout d’abord à lui faire peur en lançant des grognements rock et puissants. Evidement ça ne fonctionne pas et je n’ai droit qu’à un rire ironique de sa part. Elle ne parle pourtant pas, peut être a-t-elle perdu sa langue. Le Chartier tente de sauter par-dessus ma petite silhouette, mais je l’arrête en sautant également. Je m’accroche comme je peux, griffes dans son cou et gueule a gueule je tente d’évité ses morsure pendant que j’essaye de lui planter mes crocs dans son propre cou. Grace a l’une de ses pattes elle arrive a se débarrasser de moi et m’envoie voler bien une dizaine de mètre plus loin. Je suis sonné… j’y vois partiellement flou… je me relève, penchant sur le coté, tentant de garder un certain équilibre. Pourvut que la demoiselle sache des sort un peu plus puissant, où qu’elle fuie vers l’établissement prévenir un professeur.

♠ L'ivresse d'un monde sans fail;
vous rigolez j'espère HA !

• DON'T GIVE ME THIS PITY LOOK.

Tout se passe vite, rien ne m’est vraiment bien détaillé. J’ai l’impression que je suis devenu sourd et tout devant moi s’active. Une fois debout je secoue ma tête canine, je bouge mes oreilles de droite a gauche, captant les différents sons de mon entourage, bien vite la foret reprend vie, les fées ne rigolent plus mais papote de notre pseudo exploit. Qu’elles sont bien naïves ses fées. De loin ma vue s’habitue aux ombres qui s’installe, bien vite le soleil se fait plus petit, les flammes de son corps ardents ne nous atteigne plus et le froid ne fait qu’une boucher de la température actuel. Je n’ai pas froid, je suis un loup je vous rappelle. Alors que je reprends enfin mes esprits, je boite légèrement jusqu’à la jeune fille dont j’ignore toujours le nom et je fais face a cette créature velue qu’est ce Chartier surdimensionné. Je ne peux pas a proprement parler, mais j’arrive à communiquer avec les animaux dans un dialecte frôlant la perfection, avec quelque erreurs évidement. Je grogne, baillant une fois le sol de ma longue queue noir et je tape fermement de la patte gauche en signe de colère et d’irritation. N’ayant pas la possibilité de bouger, la créature me répond en humain, caressant sa langue sur ses longues dents pointues.

♦. Ce n’est pas tout les jours qu’on rencontre des humains aussi appétissants.

♠. T’es flatterie ne marche pas mon beau.

♦. J’aurais voulu tomber sur plus stupide…

J’ai entre temps repris ma forme humaine, mon arcade gauche saigne un tontiné et ma jambe droite me fait grimacer légèrement. Je ne me suis rien cassé, sinon je hurlerais a la mort. J’ai du me tordre quelque chose, dans la panique mes pattes n’ont pas du se mètrent comme il le faut a l’atterrissage. Enfin… Ce n’est pas bien grave, un petit jour de repos et une petit tour a l’infirmerie et tout sera de nouveau comme neuf. Bon… Il faut peut être s’en débarrasser a présent, de cette chose puante. Il serait trop bon de lui demander gentiment de repartir dans sa foret… Il est donc improbable qu’on lui fasse confiance. Je ne demanderais pas mon reste, sans même vouloir en savoir d’avantage sur l’enfant aux yeux bleu je fait volte face et je retourne vers l’établissement oubliant bien vite mon mal de jambe et ne boitant plus. Une fois a distance elle pourra le relâcher, enfin elle fait ce qu’elle veut, je n’en ai plus rien a foutre.

Je regarde l'animagus s'éloigner en boitent. L'animal à côté de moi se tortille pour atteindre une de mes jambes. Je lui pousse gentiment la tête plus loin avec mon pied tout en regardant le garçon. Mon cahier dans les mains je le froisse un peu. Et s'il répétait tout aux élèves ? Oh NON ! On me trouverait encore plus bizarre. On dirait que je suis violente (bon ce ne doit pas être faux non plus). Tout, mais pas ça !

Je laisse le Chartier où il est et je cours vers le garçon. Franchement si je ne tombe pas raide morte ce soir c'est que je suis prête à passer dans une machine à laver. Le lève une main et lui attrape l'épaule. Je pense qu'il n'apprécie pas beaucoup les contacts humains. Je fais en sorte qu'il me soit en face de moi. Je reprends un peu mon souffle et le regarde dans les yeux.

-Tu pourrais faire en sorte que cela ne ce sache pas ? Et pour répondre à ta question de tout à l'heure je suis Erra NighhtHeart, En sixième année chez les Aqua's.

Mon Geste est vraiment stupide. Je me tourne et me dirige de nouveau vers la créature qui éclate de rire. Franchement je ne comprends pas. Je mets la tête sur le côté avec un aire interrogateur. Peut être devrais-je l'achevais. Non se serait trop cruel.

- C'est beau l'amour... vous êtes allés où comme ça ?

Quoi ? J'ouvre de grand yeux et un mouvement de recule me fis trébucher. En plus d'être doué de parole, la chose peut tenir des propos perverses. Je suis ébaïs de l'énormité de ces paroles. Je n'arrive plus à bougée tellement je suis choquée.

-Petite marionnette tu ne peux plus parler ? C'est dommage, avec ton aire farouche de tout à l'aire plus appétissante. Aller énerve toi !

Marionnette ? Je ne suis pas farouche, je n'ai aucun parfum et je suis faible. Je me laisse guider par le monde. Je n'ai plus envie de réfléchir.

♠ Mon interlocuteur est un chat,
mon interlocuteur est un chat. Miaou miaou.

• LAUGHT OUT LOUD.

Je suis déjà loin et pourtant les rire du Chartier arrive a mes oreilles… Elle se croit drôle en plus la bestiole. Je l’ignore mais la jeune fille me rattrape, m’attrape l’épaule, je ne dit rien, je ne grimace même pas. Elle se présente. Erra … Erra NightHeat. Une Aqua de Sixième année d’après ses dires. Elle est effectivement plus jeune, bonne déduction mon cher Lelouch. Alors qu’elle me demande gentiment de ne pas parler de cette scène de violence dont elle a fait preuve, gardant son carnet fermement contre sa poitrine naissante et semble me supplier du regard. Pourquoi en parlerais-je ? De toute évidence elle se prend pour le centre du monde, je n’ai de toute façon personne avec qui discuter et ce sujet de conversation serait une véritable niaiserie et une immense perte de temps. N’ayant de toute évidence rien à rajouter et ne voulant pas perdre une minutes de plus dans cet endroit qui empeste le Chartier ; celui-ci rit, encore et encore avant de balancer sa petite phrase pleine de conneries.

♦. C'est beau l'amour... vous êtes allés où comme ça ?

Je relève la tête fixant celle de l’affreuse bestiole. J’esquisse un sourire nié, quelque chose d’ironique plein de sens caché et je m’approche, doucement, ne prenant pas le temps de m’attarder sur la gamine qui s’écroule a mes cotés. Le Chartier s’intéresse a la demoiselle et ne me prête pas vraiment attention, je m’approche encore jusqu’à être a quelque mètre de sa puissante gueule.

♠. Voila que vous prêtez attention aux ébats amoureux des autres créatures maintenant ?

♦. D’après ce que je sais, les accouplements humains sont quelque chose à ne pas rater, vous me faites une démonstration ? Je veux entendre les râles de la fille !

Je m’abaisse, arrachant brindilles et motte de terre pour lui jeter à la figure. Je lève le doigt, et de mon autre main ma baguette, je penche légèrement la tête et je lui intime un petit secret.

♠. Si tu cherche encore à te reproduire je te conseillerais de garder ta longue langue visqueuse au fond de ta gorge et de t’étouffer avec.

♦. Abusez de la magie ne va pas a votre teint si angélique, jeune humain.

Je me relève et d’un geste fluide de ma baguette je susurre le petit mot de trop. Le furet se crispe, cris, râle et gémit, se tordant dans tout les sens ne pouvant de toute évidence pas s’enfuir. Je l’observe, je me languis sur cette carcasse puante qui se tortille devant moi. Je m’arrête et je lui tourne le dos.

♠. Un commentaire ?

♦. …

♠. Bien. Erra. Partons. Ta magie cessera après que nous nous serons éloigné et cette gentille créature des forets retournera dans son terrier. Sur ce. Monsieur le Chartier.

Je me retourne, et j’utilise une nouvelle fois ma baguette pour lui faire oublier ce qu’il a vu. Ces créatures on tellement la langue pendu qu’elles risqueraient de me dénoncer pour l’utilisation d’Endoloris.

♠ Si tu sais chanter des berceuses;
pourquoi ne t'endors tu pas avec moi?

• SWEET DREAMS.

Enfin débarrassé de cette énergumène. Nous devrions rentrer, il se fait tard et je n’ai pas encore mangé… Enfin ceci n’est pas vraiment grave. Je ne suis pas fatigué et un bon livre m’attend sur ma table de chevet. Personne ne viendras m’embêter, personne ne viendra me demander ma journée, aucun de mes colocataires ne se fera un plaisir de s’intéresser a moi, comme d’habitude enfaite. Je soupire et jette un dernière coup d’œil a le demoiselle nommé Erra qui … tombe. D’un reflex presque extraordinaire, même moi je ne sais pas comment j’y suis parvenu, je la rattrape de justesse. Blottit dans mes bras elle c’est tout simplement endormit. Attendrit moi ? Peut être un peu. Je la soulève, passant mes bras sous ses jambes et dos pour la porter. Je soupire de nouveau, penchant doucement mon visage au dessus du siens, sa petite mine endormit la rend encore plus inoffensive. Le sang sur ses vêtements coule sur les miens, mais a ce stade je ne me plaindrais pas. Je ne peux de toute évidence pas la laissé là… Nous arrivons aux jardins où quelques élèves sont encore présents. On nous lorgne, de la tête aux pieds, certains rigolent d’autres s’inquiètent. Que j’ai l’air pathétique a jouait les princes a porter cette gamine dans mes bras …

J’accoste une fille qui semble être d’Aqua et je lui demande les dortoirs. Rouge comme une tomate celle-ci bégaie et m’indique la petite porte bleue après le chemin de terre et le couloir, directement sur ma gauche. Je l’en remercie et je laisse sa petite imagination faire son boulot. Elle retourne a ses amis, papotant sur le compte d’Erra. Rumeur ou pas Rumeur je m’en fiche, je n’ai pas que ça à foutre. Je prends donc les chemins indiqués, je passe outre les interdictions de certaines personnes concernant le dortoirs des filles et y rentre sans plus de gêne. Evidement on me dévisage, mais on comprend vite ma petite manigance en voyant l’une d’elle dans mes bras. On m’indique sa chambre, j’y retrouve un corbeau et quatre lits vident. Les demoiselles me surveillent de derrière la porte. J’esquisse un mini sourire a cette attention qu’elles me portent, j’aurais bien aimé leurs dire que je suis en aucun cas un pervers mais cela me rendrais bien plus bizarre que je ne le suis déjà. Je me fis au carnet bleu déposé par le corbeau sur la table de chevet du lit près de la fenêtre et y dépose la belle au bois dormant. Je ne dis rien, parler pour ne rien dire m’insupporte, je la regarde juste et je fais demi-tour, me présentant devant les 3 autres propriétaires de la chambre qui se trouvent devant la grande porte en bois.

♠. Sur ce, mesdemoiselles, passez une agréable et féerique nuit.

♠ Le rêve est le phénomène que nous n'observons
que pendant son absence. Le verbe rêver n'a presque pas
de présent. Je rêve, tu rêves.

• CARBONATE & HELIUM.

•.Non, mais ça va pas ! Tu es dépourvut de cervelle ou quoi ? Pourquoi tu ne m'a pas laissée là où j'étais ? Ton clan va avoir des points en moins !(par ma faute en plus)... Enfin du moins je crois. Tu n'a pas le droit de te trouver ici.


J’peux la frapper ? Non sincèrement ? L’assommer à tout jamais c’est possible ? Je soupire, en même temps que les 3 autres gamines sur le pied de la porte qui observe la scène et qui au même titre que moi sot tout bonnement perplexe par rapport a cette réaction…Non mais elle a raison hein. J’aurais du tout simplement la laisser dans le champ en face de l’académie, a quelque pas du Chartier qui se serait libérer de son sort et l’aurais tout simplement bouffé ! Un peu de sérieux tout de même j’aurais bien perdu plus de point en l’abandonnant ici que en la ramenant a son doux foyer, alias son lit. Quelle ingratitude. Lui tournant le dos, je n’ai pas envie de me retourner pour lui répondre et continuer cette conversation débile qui ne servira qu’à me sortir de mes gonds. Je me dois de garder mon calme… Haussant doucement les épaules dans le but de es faire craquer et ainsi continuer ma route vers mes propres dortoir voila qu’Erra, la gamine rebelle, et vas –y que je te gueule dessus, viens m’enlacer. Oui oui on c’est compris… Elle couve une double personnalité ou quoi ?

Je soupire, a croire qu’il n’y a que ça de bon à faire en sa présence. Elle fini par resserrer son entraine autour de ma taille et colle sa tendre joue contre mon dos, je la laisse faire, après tout pourquoi pas, si chez elle c’est une marque de remerciement je l’accepte, non pas a bras ouvert, tout de même pas, mais je l’accepte quand même. Bon… j’avais du sang devant, maintenant j’ai une tache dans le dos. Génial. Merci Erra, qu’elle cadeau d’adieu tout à fait original. Je sens bien vite qu’elle desserre, mais non de sa volonté car celle-ci glisse sur mes jambes, venant blottir sa tête dans le creux de mes genoux. Je ne trésaille pas et fini par m’accroupir, la redressant et une nouvelle fois la retransporter dans son lit. J’aurais voulu utiliser ma magie pour qu’elle reste endormit et que l’idée de me suivre ou de me faire quoi que ce soit ne lui retraverse l’esprit. Je m’attarde sur ce petit visage naïf et affiche un sourire de niaiserie. Qu’elle Gamine tout de même. J’écarte les mèches de son visage, lui annonce un doux et tendre « Bonne nuit. » et je me retourne définitivement, poussant d’un revers de la main les demoiselles qui bloquent l’entrée pour sort de la chambre, direction mes propres appartements. Qu’elle vienne me reparler si ça lui chante, je m’en contre fou.


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